Dans mon dernier article, je vous disais qu’un arrêt me pendait au nez. Néanmoins, je n’aurais jamais imaginé que lors du dernier rendez-vous, il y a 15 jours (celui du 4eme mois je crois), la gynécologue déciderait comme ça, brusquement, de m’arrêter !
Par stupidité acquis de conscience professionnelle, j’ai demandé à pouvoir finir ma semaine de boulot (nous étions lundi soir). Elle me l’a accordé en me disant de me ménager. J’ai donc appelé mon boss en rentrant à la maison pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
Bon, je vais être sincère, ces derniers jours de boulot se sont très mal passés. Soupe à la grimace et réflexions en permanence…
Mais j’ai tenu bon et je l’ai prévenu que, le vendredi, je ferais un petit déjeuner pour l’annoncer à mes collègues et leur dire au-revoir. Hé bien ce jour là, il ne s’est pas montré. Quelle maturité !!
Après plus de 2 ans de collaboration, je ne m’attendais pas à être traité comme ça…
Donc voilà, je suis à la maison depuis une semaine. Au pire, je pensais m’arrêter en août, c’est donc un sacré changement et je vais devoir me trouver des activités sympas (d’ailleurs, si vous avez des idées, je suis preneuse !) pour m’occuper jusqu’à octobre.
Je dors beaucoup, ce qui fait dire à la sage-femme que je récupère de ces derniers mois. Parce que j’ai droit à la visite d’une sage-femme une fois par semaine pour le moment :) Elle prends ma tension, on papote, elle nous fait écouter le coeur de Fergus, etc. D’ici un mois, on commencera les monitos à raison de deux fois par semaine.
La bonne nouvelle c’est que, ça y est, je sens enfin Fergus bouger !!